Overbud
Overbud’s first opus, a collaboration with Christian.
Noisy textures, contemporary percussion, layered improvisation.
It was impulsed by spontaneous drum parts and textural synths improvs, sent to Québec for guitar and bass work, back to France for additionnal production, mixing and mastering.
Premier opus d’Overbud, collaboration avec Christian.
Textures bruitistes, percussions contemporaines, improvisations superposées.
Impulsé par des parties de batterie spontanées et de la texture analogique, le tout a été envoyé au Québec pour un travail sur la guitare et la basse, lui aussi le plus spontané possible, puis retourné en France pour un peu de production additionnelle, le mix et le master.
OB2
Our second EP, done with the same kind of process, is a long piece divided into chapters, to give a kind of mental map of its structure and construction.
From a musical point of view, less corrosive, warmer, organic.
Notre deuxieme EP, concocté avec un processus assez similaire, est une longue pièce qui a été divisée en chapitres, pour donner à l’auditeur une sorte de carte mentale de sa structure, confection, construction.
D’un point de vue musical, c’est plus progressif, plus doux et rond, organique.
Goût – Gueule
Goût – Gueule, is a heavy noisy / metalic / ambient two piece (+20′) album.
First half was produced on my part without the handle of bass frequencies on many passages, to let Dave make his bass madness add to the sometimes violent/delicate fluctuations an addition of real human musicianship in the dosage.
The second piece was invertly done with a good amount of bass riffs I built the instrumentation around.
I have to mention that the bagpipes heard at the beggining and the very end were recorded during a whisky day celebrated at the store right close to my studio window, just had to plug a mic and discretely steal the music that was coming from two musicians !
May they forgive me, and thank you for the material !
Goût-Gueule, est un album lourd, bruyant / métallique / ambient en deux parties (+20′).
La première moitié a été produite de mon côté sans la gestion des basses fréquences sur de nombreux passages, pour laisser Dave faire sa tambouille avec son instrument et ajouter aux fluctuations parfois violentes/délicates un ajout de vraie musicalité humaine à mes programmations.
Le second morceau a été réalisé à l’envers avec une bonne quantité de riffs de basse autour desquels j’ai construit l’instrumentation.
Je dois avouer que les cornemuses entendues au début et à la fin ont été enregistrées lors d’un whisky day célébré à la cave juste à côté de la fenêtre de mon studio, il suffisait de brancher un micro et de voler discrètement et honteusement la musique qui venait de ces musiciens !
Qu’ils me pardonnent, et merci pour la matière !